1. Un schéma révolutionnaire pour la qualification
Ah, mes amis, en 2011, le processus de qualification pour la Coupe du Monde Féminine FIFA (UEFA) a marqué un tournant spectaculaire! Finies les hiérarchies traditionnelles, tous les participants avaient leur chance de montrer leur talent sur la grande scène, bouleversant ainsi les codes établis.
2. Un système à 41 participants
Imaginez la scène : 41 équipes se disputant leur place en étant réparties dans huit groupes ! Chaque groupe offrait la promesse de s’élever vers les play-offs, et c’est grâce à cette dynamique que le rêve de la Coupe du Monde devenait accessible à plus d’un.
3. Des play-offs décisifs
Les vainqueurs de chaque groupe se retrouvaient directement face à face lors des play-offs. Les quatre meilleures équipes obtenaient leur billet direct pour rejoindre l’Allemagne, hôte du tournoi, mais même les perdants avaient une ultime chance dans deux rondes knockout pour affronter la nation classée troisième en CONCACAF.
4. Un calendrier étalé et intense
Le tirage des groupes qui s’est déroulé le 17 mars 2009 préparait un calendrier palpitant, avec des matches disputés du 15 août 2009 au 25 août 2010. Une période riche en combats et en émotions, où chaque rencontre portait le poids du destin vers le grand tournoi.
5. Un seeding basé sur les performances passées
La question du classement était primordiale ! Le seeding s’appuyait sur les exploits lors de la Coupe du Monde Féminine 2007 et l’UEFA Women’s Euro 2009. Cinq pots furent constitués – le cinquième contenant neuf équipes – assurant ainsi une répartition équilibrée et compétitive dès le départ.
6. Des groupes aux enjeux multiples
Chaque groupe était une arène où l’intensité rivalisait avec la stratégie. Par exemple, dans le Groupe 1, des équipes telles que l’Islande, la Croatie et bien d’autres se battirent âprement pour la qualification. Ces confrontations n’étaient pas seulement des matches, mais de véritables drames footballistiques, où chaque but et chaque faute pesaient lourd dans le bilan final.