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10 choses incontournables à savoir sur la finale de la Ligue des Champions UEFA 2013

10 choses incontournables à savoir sur la finale de la Ligue des Champions UEFA 2013 10 choses incontournables à savoir sur la finale de la Ligue des Champions UEFA 2013
10 choses incontournables à savoir sur la finale de la Ligue des Champions UEFA 2013

1. Le cadre mythique du 25 mai 2013

Imaginez la tension palpable dans l’air, 14 °C et une humidité de 40% qui mettaient le décor parfait pour un duel épique. Ce fut le samedi 25 mai 2013, dans le légendaire Wembley Stadium à Londres, théâtre d’un spectacle footballistique inoubliable.

2. La première finale tout allemande

Pour la première fois dans l’histoire de la Champions League, ce fut une confrontation entre deux équipes allemandes ! Borussia Dortmund et Bayern Munich se sont affrontés dans une finale qui marqua une nouvelle ère pour le football germanique. Rien que le fait de voir ces deux titans s’affronter faisait sensation.

3. Le coup d’envoi d’un duel historique

La rencontre faisait partie de la 58e édition de la compétition phare d’UEFA, organisée par la fédération européenne, et la 21e depuis sa transformation en Champions League. Ce match n’était pas seulement un affrontement de clubs, c’était un choc de cultures et de styles, une démonstration de fierté et de passion sur la scène européenne.

4. Un dénouement dramatique et palpitant

Bayern Munich a enchanté le spectacle en s’imposant 2–1. Le but initial de Mario Mandžukić, suivi d’un but magistral d’Arjen Robben, élu homme du match, en fit un triomphe de champions. La réponse de Dortmund ne fut pas en reste, avec un penalty encaissé par İlkay Gündoğan, mais l’équilibre penchait du côté des Bavarois.

5. Le couronnement du continental treble

Une semaine après cette finale, l’exploit se poursuivit pour Bayern. En remportant la DFB-Pokal et fort de leur titre de Bundesliga, ils complétèrent le légendaire triplet continental (treble). Ce succès leur offrait non seulement l’accès à la Supercoupe de l’UEFA face à Chelsea, mais aussi aux demi-finales de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA, compétitions qu’ils finirent par remporter.

6. Une audience planétaire et un impact historique

Le rendez-vous fut suivi par 21,6 millions de téléspectateurs en Allemagne sur ZDF et plus de 360 millions dans le monde entier ! C’est devenu l’évènement sportif le plus regardé de l’année 2013, un chiffre qui démontre bien le pouvoir de la passion du football.

7. Le fil conducteur d’une rivalité intense

Le match s’inscrivait dans une rivalité historique, « Der Klassiker », marqué par plusieurs épisodes marquants des années 1990 à aujourd’hui. Rappelez-vous, en 2011-12, Dortmund avait déjà triomphé en remportant la Bundesliga et la DFB-Pokal, malgré une hostilité palpable avec Bayern. L’anecdote des bananes lancées sur Manuel Neuer reste encore fraîche dans les mémoires, symbolisant la tension entre ces deux géants.

8. Le parcours légendaire jusqu’à la finale

Pour atteindre cette apothéose, chaque club avait gravé son chemin dans la compétition. Bayern Munich, avec son groupe impressionnant et ses matchs décisifs, et Dortmund, fort de son premier titre européen en 1997, se retrouvaient une fois de plus face à un destin commun mais antagoniste. Les confrontations en Ligue des Champions avaient forgé cette ambiance électrique et compétitive.

9. Wimbledon aux multiples facettes du Wembley Stadium

Wembley n’était pas seulement un stade, c’était une légende vivante. Connu pour avoir accueilli des finales européennes depuis 1963, ce stade emblématique a vu passer des rencontres historiques comme celle de Manchester United face à Benfica en 1968 ou encore Liverpool contre Club Brugge en 1978. C’est ce décor chargé d’histoire qui a ajouté une dimension supplémentaire à la finale 2013.

10. Les coulisses d’un duel au sommet

Au-delà des buts et des exploits, la rencontre fut arbitrée par Nicola Rizzoli, un officier italien respecté, garantissant l’équité sur le terrain. Toulouse fut également marqué par les précédents rendez-vous en finale pour Bayern, avec des souvenirs de défaites en 2010 et 2012, rappelant que le chemin vers la gloire est pavé d’embûches. Et comment oublier l’épisode du transfert de Mario Götze à Bayern pour 37 millions d’euros, un geste qui symbolisait un tournant décisif dans la supériorité financière et sportive du Bayern au sein du championnat allemand.

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