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10 choses essentielles à savoir sur la 2020-21 UEFA Champions League : moments forts, format et impacts de la pandémie

10 choses essentielles à savoir sur la 2020-21 UEFA Champions League : moments forts, format et impacts de la pandémie 10 choses essentielles à savoir sur la 2020-21 UEFA Champions League : moments forts, format et impacts de la pandémie
10 choses essentielles à savoir sur la 2020-21 UEFA Champions League : moments forts, format et impacts de la pandémie

1. La 66ème édition de la Champions League, un tournoi plein de passion

Ah, mes amis, quelle saison incroyable fut la 2020–21 UEFA Champions League ! Une compétition qui a tenu toutes ses promesses et qui a su nous captiver jusqu’à la dernière minute. Organisé pour la 66ème fois – et 29ème depuis son renommage, le tournoi a rassemblé des équipes venues de toute l’Europe, offrant des moments de pur théâtre footballistique.

2. Des dates clés pour un calendrier chargé

Le parcours de cette épopée européenne a commencé bien avant le coup d’envoi de la compétition proprement dite. Dès le 8 août 2020, les phases qualificatives, jouées jusqu’au 30 septembre 2020, faisaient déjà vibrer les cœurs des supporters. Puis, le moment fatidique est arrivé le 20 octobre 2020, avec le début de la phase principale qui a duré jusqu’au 29 mai 2021. C’était une saison qui couvrait tous les terrains, des qualifications aux phases finales, en passant par des matchs d’une intensité rare.

3. Le format et la répartition des équipes, une aventure pour tous

Avec 32 équipes évoluant lors de la compétition propre, et un total impressionnant de 79 équipes issues de 54 associations, le parcours fut une véritable odyssée. Chaque nation, sauf la petite Liechtenstein qui ne possède pas de championnat professionnel, a pu inscrire son nom dans l’histoire de cette compétition. Les associations les mieux classées bénéficiaient de plus de places, allant de 4 équipes pour les leaders européens à 1 équipe pour les autres associations. Cette répartition, basée sur les coefficients UEFA, a permis d’assurer un équilibre entre compétitivité et diversité.

  • Associations 1–4 : 4 équipes chacune.
  • Associations 5–6 : 3 équipes chacune.
  • Associations 7–15 : 2 équipes chacune.
  • Associations 16–55 (sauf Liechtenstein) : 1 équipe chacune.

4. Les moments forts – de la qualification à la grande finale

Du frisson des tours préliminaires aux drames des phases de groupes, la compétition a été une succession de moments palpitants. Dès le premier tour, dès le 18–19 et 25–26 août 2020, l’intensité et l’émotion étaient au rendez-vous, même si quelques ajustements étaient destinés à intervenir grâce à la « adaptive re-balancing ». Ces changements, opérés à partir de la troisième phase qualificative, ont permis d’ajuster le parcours des équipes, comme pour offrir à Ajax (champions des Pays-Bas) une entrée directe en groupe ou encore modifier les niveaux d’accès pour Slavia Prague et Olympiacos.

5. Les bouleversements liés à la pandémie : quand le football s’adapte

La pandémie de COVID-19 a tant chamboulé le calendrier du football que cette édition n’a pas fait exception. Initialement, le final devait se jouer à l’Atatürk Olympic Stadium d’Istanbul, Turquie, pour l’édition 2020. Mais la situation imprévisible de la pandémie fit que le match fut déplacé au Estádio da Luz à Lisbonne. Quant à l’édition 2021, Istanbul fut à nouveau le décor prévu, mais une fois de plus, le spectre du COVID-19 se fit sentir : la Turquie se retrouva sur la « red list » du Royaume-Uni, forçant le déplacement du match final vers le splendide Estádio do Dragão à Porto, Portugal.

6. La grande finale : un duel mérité entre Chelsea et Manchester City

Quel match mémorable ! Dans une finale teintée de tension et de détermination, Chelsea a triomphé 1–0 face à Manchester City, décrochant ainsi son second titre de la Coupe d’Europe. Un résultat qui parle de lui-même et qui restera gravé dans les annales du club londonien. Ce match, véritable combat jusqu’au coup de sifflet final, nous a montré que dans le football, la gloire est réservée aux équipes qui savent rester soudées et déterminées jusqu’au bout.

7. Des performances individuelles qui marquent l’histoire du tournoi

Les statistiques et les performances individuelles ont également été à la hauteur de l’événement. Le tournoi a vu le prodigieux Erling Haaland (bien qu’il évoluât avec Borussia Dortmund lors de ses 10 buts marqués, et non en tant que finaliste, une mention qui nous rappelle qu’en football, les talents se révèlent sur de multiples scènes), un gardien inspiré comme Édouard Mendy de Chelsea, et un défenseur charismatique, Rúben Dias, dont les actions ont permis de sceller le destin des matches. Sans oublier le maître du milieu de terrain, N’Golo Kanté, dont le jeu infatigable et élégant a été un véritable pilier dans le succès de son équipe.

8. La structure complexe du tournoi, un parcours semé d’embûches

La compétition s’organise en plusieurs phases qui forment un parcours semé d’embûches pour les équipes participantes : des tours préliminaires aux qualificatifs, puis la phase de groupes et enfin, la phase à élimination directe. Voici comment on peut résumer ce chemin ardu :

  • Phase préliminaire : 4 équipes issues des associations 52 à 55.
  • Premier tour qualificatif : 34 équipes, principalement les champions des associations 18–51 (à l’exception de Liechtenstein) avec l’ajout d’un vainqueur de la phase préliminaire.
  • Deuxième tour qualificatif : Répartie en deux volets – Champions Path et League Path – donnant aux équipes respectives des chances selon leur classement national.
  • Troisième tour et Play-off : Les ajustements « adaptive re-balancing » entrent en jeu pour rééquilibrer les chances en fonction des résultats des précédentes compétitions européennes.
  • Phase de groupes : 32 équipes se disputent leur place dans la légendaire phase de groupes.
  • Phase à élimination directe : Le dernier acte, avec 16 équipes en lice, qui se battent pour atteindre la finale et la gloire ultime.

9. La « adaptive re-balancing » : une solution innovante pour un calendrier perturbé

Dans le tumulte provoqué par la pandémie et les incertitudes des qualifications, UEFA a dû improviser avec un système innovant appelé « adaptive re-balancing ». Ce procédé a permis de modifier l’ordre d’accès aux différentes phases du tournoi en temps réel, assurant ainsi que les équipes qualifiées se retrouvent bien placées pour la suite du parcours. Par exemple, Ajax, champion des Pays-Bas, a ainsi pu accéder directement à la phase de groupes, tandis que Slavia Prague et Olympiacos ont vu leurs positions ajustées pour intégrer le play-off plutôt que de débuter dès la troisième phase qualificative. Un ajustement qui démontre toute la réactivité et la capacité d’adaptation de l’UEFA face à des situations inédites.

10. Les implications pour les compétitions européennes futures

Outre son impact immédiat sur le déroulement de la saison 2020–21, cette édition marque également un tournant dans l’histoire des compétitions européennes. Notons notamment que c’était la dernière saison à voir la règle des buts à l’extérieur prendre fin. De plus, en tant que vainqueur de la Ligue des champions, Chelsea a ensuite affronté Villarreal, champion de l’Europa League, dans le cadre de la Supercoupe de l’UEFA 2021, et a ainsi assuré son entrée à la Coupe du monde des clubs FIFA 2021. Un changement de paradigme, qui a même conduit à transférer la place réservée aux champions en titre à Beşiktaş, champion de la Süper Lig, ce qui illustré bien les répercussions du calendrier européen et des performances nationales sur la compétition continentale.

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